Ostéopathie et grossesse au 3ème trimestre : Préparer sereinement votre accouchement

Vous entrez dans votre troisième trimestre de grossesse et les dernières semaines avant l’arrivée de votre bébé s’accompagnent de nouveaux défis physiques ? Entre les douleurs lombaires qui s’intensifient, les difficultés respiratoires, les troubles du sommeil et l’appréhension de l’accouchement, cette période peut être éprouvante. En tant qu’ostéopathe spécialisé en périnatalité à Paris 15, je reçois de nombreuses futures mamans en fin de grossesse qui cherchent des solutions naturelles pour soulager leurs maux et optimiser leur préparation à l’accouchement.

Selon une étude menée en 2013 sur les maternités françaises, 16,4% des maternités font appel à l’ostéopathie, un chiffre qui a triplé en moins de dix ans. Cette progression témoigne de la reconnaissance croissante des bienfaits de l’ostéopathie pendant la grossesse par les professionnels de santé. Une étude universitaire d’Angers réalisée en 2016 révèle que 82,4% des femmes enceintes qui consultent un ostéopathe avaient déjà recours à cette pratique avant leur grossesse, soulignant la confiance accordée à cette approche thérapeutique.

Pourquoi le 3e trimestre est crucial : comprendre les bouleversements de votre corps

Les transformations mécaniques du dernier trimestre

Le troisième trimestre de grossesse, qui s’étend de la 29ème semaine jusqu’à l’accouchement, représente la phase de changements les plus spectaculaires pour votre corps. Votre utérus atteint son volume maximal, passant de la taille d’une orange en début de grossesse à celle d’une pastèque de plusieurs kilogrammes. Cette expansion exerce une pression considérable sur tous les organes environnants et modifie profondément votre posture.

Dans mon cabinet, j’observe systématiquement chez les futures mamans en fin de grossesse une hyperlordose lombaire (cambrure excessive du bas du dos) qui peut augmenter de 30 à 40% par rapport à la posture habituelle. Cette cambrure compensatoire, nécessaire pour maintenir l’équilibre face au poids du ventre projeté vers l’avant, sollicite excessivement les muscles paravertébraux, les disques intervertébraux et les articulations sacro-iliaques.

Le bassin maternel subit également des modifications essentielles : sous l’effet de la relaxine, hormone produite en grande quantité au troisième trimestre, les ligaments du bassin se relâchent pour permettre l’élargissement nécessaire au passage du bébé. Si cette laxité ligamentaire est physiologique et bénéfique pour l’accouchement, elle peut aussi générer des douleurs ligamentaires intenses, des sensations d’instabilité et des pubalgies (douleurs au niveau du pubis) qui affectent 20% des femmes enceintes.

Les contraintes viscérales et respiratoires

Au huitième et neuvième mois, votre bébé pèse entre 2,5 et 3,5 kg et occupe la quasi-totalité de votre cavité abdominale. Cette occupation maximale entraîne un refoulement de tous vos organes digestifs vers le haut : l’estomac est comprimé contre le diaphragme, les intestins sont repoussés latéralement, la vessie subit une pression constante.

Ces compressions expliquent la plupart des symptômes désagréables du troisième trimestre que mes patientes parisiennes me rapportent quotidiennement :

  • Essoufflements : le diaphragme, muscle respiratoire principal, voit son amplitude réduite de 30 à 40%, limitant votre capacité pulmonaire
  • Reflux gastro-œsophagiens : l’estomac comprimé favorise la remontée d’acide, particulièrement en position allongée
  • Constipation : le ralentissement du transit intestinal s’accentue avec la compression mécanique des intestins
  • Envies fréquentes d’uriner : la vessie, écrasée entre l’utérus et le pubis, voit sa capacité diminuer drastiquement

En tant qu’ostéopathe spécialisé, mon rôle consiste précisément à redonner de la mobilité à ces structures comprimées, à décompresser les zones de tension et à optimiser la fonction de chaque organe malgré les contraintes mécaniques.

La préparation naturelle du corps à l’accouchement

Votre corps se prépare instinctivement à l’accouchement dès le début du troisième trimestre. Le col de l’utérus commence progressivement à se ramollir, le bébé descend dans le bassin (on parle d’engagement) et des contractions de Braxton-Hicks (contractions d’entraînement) préparent l’utérus au travail.

Cependant, cette préparation naturelle peut être entravée par des dysfonctions ostéopathiques : un bassin asymétrique, des tensions musculaires excessives, des restrictions de mobilité des articulations sacro-iliaques ou du coccyx. Mon intervention ostéopathique vise à lever ces obstacles mécaniques pour permettre à votre corps d’accomplir au mieux sa fonction naturelle d’enfantement.

Les bienfaits concrets de l’ostéopathie au 3ème trimestre

Soulagement durable des douleurs de fin de grossesse

Les douleurs musculo-squelettiques du troisième trimestre sont les motifs de consultation les plus fréquents. L’ostéopathie apporte des résultats particulièrement efficaces sur ces symptômes.

Les lombalgies de fin de grossesse touchent près de deux tiers des femmes enceintes et apparaissent ou s’intensifient généralement au dernier trimestre. Une étude scientifique américaine publiée en 2010 dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology a démontré que le traitement ostéopathique réduit significativement les douleurs dorsales chez la femme enceinte. Dans ma pratique, 75% des patientes constatent une amélioration notable dès les deux premières séances.

Les sciatalgies et sciatiques surviennent lorsque l’utérus volumineux comprime le nerf sciatique ou lorsque le muscle piriforme (petit muscle fessier) se contracte excessivement. L’ostéopathie soulage 8 femmes enceintes sur 10 souffrant de sciatique au deuxième et troisième trimestre. Mes techniques de relâchement du piriforme, de mobilisation du sacrum et de décompression du bassin permettent de libérer le trajet du nerf sciatique et d’apaiser rapidement les douleurs irradiantes dans la jambe.

Les douleurs ligamentaires constituent une plainte majeure en fin de grossesse. Ces douleurs, décrites comme des décharges électriques ou des sensations de déchirement au niveau du pubis, de l’aine, des fesses ou des adducteurs, résultent de l’étirement excessif des ligaments sous l’effet de la relaxine et du poids du bébé. Mon approche ostéopathique combine des techniques de relâchement ligamentaire, de décompression du bassin et d’équilibration posturale pour soulager durablement ces douleurs invalidantes qui perturbent la marche et le sommeil.

Les douleurs costales et thoraciques, fréquentes au huitième et neuvième mois lorsque bébé appuie contre les côtes, peuvent être soulagées par des techniques douces de mobilisation costale et de relâchement du diaphragme.

Amélioration de la fonction respiratoire et digestive

Le travail ostéopathique sur le diaphragme constitue un axe thérapeutique majeur en fin de grossesse. Votre diaphragme, ce muscle en forme de coupole situé entre le thorax et l’abdomen, joue un rôle essentiel non seulement dans la respiration mais aussi dans la digestion et même dans le déclenchement du travail.

En fin de grossesse, le diaphragme est repoussé vers le haut par l’utérus volumineux, limitant son amplitude de mouvement. Mes techniques ostéopathiques de libération diaphragmatique permettent de :

  • Améliorer votre capacité respiratoire : vous respirez plus profondément, vous vous sentez moins essoufflée dans les gestes quotidiens
  • Réduire les reflux gastro-œsophagiens : un diaphragme mobile diminue la compression de l’estomac
  • Faciliter votre respiration lors de l’accouchement : un diaphragme souple et mobile est votre meilleur allié pour les poussées efficaces pendant l’expulsion
  • Stimuler le démarrage du travail : le diaphragme participe activement aux contractions utérines par son rôle de piston abdominal

Le travail viscéral sur l’estomac et les intestins complète cette approche pour améliorer votre confort digestif. Mes manipulations douces sur les organes digestifs soulagent la constipation, les ballonnements et optimisent la vascularisation fœtale.

Optimisation de la position du bébé

L’une des préoccupations majeures en fin de grossesse concerne la position du bébé. Environ 3 à 4% des bébés se présentent en siège à terme (fesses ou pieds en bas plutôt que tête en bas). Cette position complique l’accouchement par voie basse et peut nécessiter une césarienne programmée.

L’ostéopathie intervient efficacement pour favoriser le retournement naturel du bébé, idéalement entre 32 et 36 semaines d’aménorrhée. Mon action ne consiste pas à manipuler directement le bébé (ce qui serait du ressort obstétrical) mais à libérer l’environnement maternel pour permettre au fœtus de se positionner plus facilement.

Concrètement, je travaille sur :

  • La mobilité du bassin maternel : un bassin mobile offre plus d’espace et facilite les mouvements du bébé
  • Les tensions du diaphragme : qui peuvent limiter l’espace disponible en haut de l’utérus
  • Les restrictions ligamentaires utérines : pour permettre à l’utérus de s’adapter à la position optimale du bébé
  • L’équilibre postural global : une posture maternelle équilibrée favorise une position fœtale favorable

Bien que 96% des bébés se retournent spontanément avant la naissance, l’ostéopathie peut aider la moitié des 4% restants à adopter la position céphalique (tête en bas) entre 36 et 38 semaines. De on expérience, je constate régulièrement des retournements réussis suite à mes interventions ostéopathiques évitant ainsi des césariennes programmées.

La préparation ostéopathique à l’accouchement : un atout majeur

Pourquoi préparer votre bassin est essentiel

L’accouchement par voie basse nécessite que votre bébé franchisse le canal pelvien, un passage formé par les os du bassin maternel. Ce trajet comporte plusieurs étapes précises : l’engagement de la tête dans le détroit supérieur du bassin, la descente et la rotation dans l’excavation pelvienne, puis l’expulsion par le détroit inférieur.

Pour que ce parcours se déroule de manière optimale, la mobilité de tous les éléments du bassin est indispensable. Le bassin osseux n’est pas une structure rigide : il est composé de plusieurs os (sacrum, coccyx, deux os iliaques) reliés par des articulations mobiles et des ligaments élastiques.

Pendant l’accouchement, ces articulations doivent pouvoir bouger pour permettre l’ouverture progressive du bassin et s’adapter aux dimensions de la tête fœtale. Un bassin « bloqué » ou asymétrique peut :

  • Ralentir ou compliquer l’engagement du bébé
  • Prolonger la durée du travail
  • Nécessiter le recours à des instruments (forceps, ventouse)
  • Augmenter le risque de traumatisme crânien pour le bébé
  • Favoriser les déchirures périnéales importantes
  • Rendre nécessaire une césarienne en urgence

Mon travail de préparation ostéopathique consiste à vérifier et optimiser la mobilité de chaque articulation du bassin : les sacro-iliaques (articulations entre le sacrum et les os iliaques), la symphyse pubienne (articulation antérieure entre les deux os iliaques), et surtout la mobilité du coccyx qui doit pouvoir basculer vers l’arrière pour élargir au maximum le passage.

Le travail sur le périnée et les tissus mous

Le périnée constitue le plancher musculaire du bassin, un ensemble complexe de muscles qui soutiennent les organes pelviens et ferment la cavité abdominale en bas. Pendant l’accouchement, le périnée joue un rôle capital : il sert de point d’appui à la tête du bébé pour effectuer sa rotation finale lors de l’expulsion.

Un périnée souple, élastique et bien vascularisé facilitera le passage du bébé et limitera les risques de déchirures importantes. À l’inverse, un périnée tendu, contracté ou mal vascularisé constituera un obstacle mécanique et augmentera les traumatismes périnéaux.

Dans ma préparation ostéopathique à l’accouchement, je travaille sur :

  • La mobilité des os du bassin qui conditionnent les points d’attache du périnée
  • La vascularisation de la région pelvienne pour optimiser l’élasticité tissulaire
  • Le relâchement des tensions musculaires du plancher pelvien
  • L’équilibre entre tonicité et souplesse : un périnée trop relâché ou trop contracté est problématique

Cette préparation ostéopathique du périnée est complémentaire (et non substitutive) de la préparation classique avec votre sage-femme et de la rééducation périnéale post-natale.

Le moment optimal pour la séance de préparation

Le timing idéal pour votre séance ostéopathique de préparation à l’accouchement se situe entre 36 et 38 semaines d’aménorrhée, soit entre le début et la fin du 8ème mois de grossesse.

Ce timing n’est pas anodin :

  • Pas trop tôt : avant 36 semaines, bébé n’est pas encore totalement engagé et sa position peut encore changer
  • Pas trop tard : après 38 semaines, l’accouchement peut survenir à tout moment, il est préférable d’avoir effectué la préparation avant
  • Idéalement 1 à 2 semaines avant le terme : pour optimiser la mobilité du bassin juste avant le jour J

Dans mon cabinet de Paris 15, je propose généralement une séance unique de préparation entre la 37 et la 38ème semaine, sauf si des douleurs ou dysfonctions spécifiques nécessitent plusieurs consultations.

Certaines patientes choisissent également de faire une deuxième séance quelques jours avant la date prévue d’accouchement pour un « dernier check-up » et lever les ultimes tensions.

Le suivi ostéopathique idéal tout au long de votre grossesse

Un accompagnement trimestre par trimestre

Bien que cet article se concentre sur le troisième trimestre et la préparation à l’accouchement, je recommande vivement à mes patientes un suivi ostéopathique régulier dès le début de la grossesse.

​Le protocole de suivi optimal que je préconise comprend :

  • 1er trimestre (jusqu’à 12 semaines) :
    • Consultation possible dès que vous connaissez votre grossesse, idéalement entre 8 et 12 semaines
    • Objectifs : soulager les nausées, optimiser l’équilibre postural, libérer les tensions préexistantes qui pourraient se compliquer pendant la grossesse
    • Techniques exclusivement douces, sans manipulation du petit bassin
  • 2e trimestre (13 à 28 semaines) :
    • Consultation recommandée vers le 5ème ou 6ème mois (20-24 semaines)
    • Objectifs : accompagner l’expansion de l’utérus, soulager les premières douleurs lombaires, prévenir les troubles digestifs, vérifier l’équilibre du bassin
    • C’est souvent le trimestre le plus confortable, idéal pour un travail préventif
  • 3e trimestre (29 semaines à l’accouchement) :
    • Première consultation vers 32-34 semaines si nécessaire (douleurs, bébé en siège)
    • Consultation de préparation à l’accouchement entre 36 et 38 semaines (indispensable)
    • Éventuellement une dernière séance quelques jours avant le terme

Cette approche préventive et régulière optimise votre confort tout au long des 9 mois et prépare idéalement votre corps à l’accouchement. Une étude de 2016 montre que 82,4% des femmes qui consultent un ostéopathe pendant leur grossesse avaient déjà l’habitude de consulter avant, soulignant l’importance de la confiance dans cette démarche.

Contre-indications et précautions

L’ostéopathie pendant la grossesse est une pratique sûre lorsqu’elle est réalisée par un praticien formé en périnatalité. Cependant, certaines situations nécessitent des précautions particulières ou constituent des contre-indications temporaires ou absolues.

  • Contre-indications absolues (consultation ostéopathique impossible) :
    • Fièvre supérieure à 38°C
    • Saignements vaginaux anormaux
    • Contractions utérines rapprochées (moins de 10 minutes d’intervalle)
    • Menace d’accouchement prématuré avant 37 semaines
    • Hypertension artérielle non contrôlée (>140/90)
    • Placenta prævia (placenta recouvrant le col de l’utérus)
    • Toute pathologie médicale aiguë nécessitant une prise en charge médicale urgente
  • Précautions particulières (consultation possible mais adaptée) :
    • Premier trimestre : éviter les manipulations du petit bassin
    • Grossesse gémellaire ou multiple : techniques exclusivement douces
    • Antécédents de fausse couche : prudence au premier trimestre
    • Diabète gestationnel : coordination avec le suivi médical
    • Hématome rétro-placentaire : avis médical préalable requis

Dans tous les cas, l’ostéopathie ne se substitue jamais au suivi médical obligatoire de votre grossesse par votre sage-femme, gynécologue ou médecin généraliste. C’est une approche complémentaire qui s’inscrit dans une prise en charge globale et pluridisciplinaire.

Après l’accouchement : l’importance du suivi post-natal

Pourquoi consulter en post-partum

La période post-partum (après l’accouchement) est tout aussi importante que la grossesse elle-même, mais elle est souvent négligée. Pourtant, votre corps vient de subir un événement physique intense et a besoin d’aide pour retrouver son équilibre.

Pendant 9 mois, votre corps s’est progressivement adapté pour accueillir votre bébé. Après l’accouchement, tous ces ajustements doivent s’inverser : l’utérus doit reprendre sa taille normale (involution utérine), les organes abdominaux doivent retrouver leur place, le bassin doit se refermer, la posture doit se rééquilibrer, les hormones chutent brutalement.

Ces changements rapides peuvent générer des douleurs, des inconforts et des dysfonctions que l’ostéopathie peut efficacement traiter :

  • Douleurs séquellaires de l’accouchement : sacrum, coccyx, pubis, périnée, colonne vertébrale
  • Séquelles de césarienne : douleurs cicatricielles, adhérences, troubles digestifs
  • Séquelles d’un accouchement difficile : forceps, ventouse, péridurale, épisiotomie
  • Douleurs liées aux nouvelles postures maternelles : allaitement, portage du bébé, bercements
  • Troubles digestifs post-partum : constipation, ballonnements
  • Fatigue excessive et troubles du sommeil
  • Difficulté à reprendre une activité physique

Le timing optimal de la consultation post-natale

​Je recommande une consultation ostéopathique environ 3 à 6 semaines après l’accouchement, idéalement avant le début de la rééducation périnéale chez votre kinésithérapeute ou sage-femme.

Ce timing permet :

  • De laisser le temps à votre corps d’entamer spontanément sa récupération (involution utérine naturelle)
  • D’intervenir avant que les dysfonctions ne se chronicisent
  • De préparer votre corps à la rééducation périnéale qui sera plus efficace si votre bassin est bien équilibré
  • De travailler sur les cicatrices (périnéales, césarienne) dès qu’elles sont suffisamment cicatrisées (3 semaines minimum)

Pour les accouchements par césarienne, j’attends généralement 4 à 6 semaines avant de travailler directement sur la cicatrice, mais je peux intervenir plus tôt sur l’équilibre global du corps.

Faites de l’ostéopathie votre alliée pour un accouchement serein

Votre troisième trimestre de grossesse représente une période intense de transformation et de préparation. Plutôt que de subir passivement les inconforts et les appréhensions, vous pouvez choisir d’accompagner activement votre corps vers l’accouchement grâce à l’ostéopathie.

Les bénéfices sont multiples et scientifiquement démontrés : soulagement durable des douleurs, amélioration de votre confort quotidien, optimisation de la position du bébé, préparation mécanique optimale du bassin, facilitation du travail et de l’accouchement, diminution des risques de complications, récupération post-natale plus rapide.

N’attendez pas que les douleurs deviennent insupportables ou que le terme approche. Anticipez, préparez-vous activement, offrez à votre corps et à votre bébé les meilleures conditions pour un accouchement physiologique et serein.

Je serais honoré de vous accompagner dans cette merveilleuse aventure de la maternité. N’hésitez pas à me contacter pour toute question ou pour prendre rendez-vous.

Prenez soin de vous et de votre bébé.

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